Dans le cadre du séminaire « Frontières des Mémoires : mémorialistes,...
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Au cours de l’exercice 2011-2016, le CERIEL s’est d’abord intéressé aux « Archives de l’œuvre » (écriture du document, génétique, rapports entre presse et littérature, réécritures, 2012-2014), puis au « savoir historique de la littérature » (2014-2015) et aux « mémoires de l’événement » (2015-2016), afin d’inscrire plus étroitement ses activités dans l’axe transversal « littérature et histoire » de l’EA 1337. Il organise également chaque année, dans le cadre de son séminaire, une ou deux séances dites « d’actualité », autour d’un ouvrage critique récemment paru et de son auteur.
Organisé par Eléonore Reverzy et Bertrand Marquer, ce colloque international portait sur la représentation, dans les œuvres littéraires, de l’acte de se nourrir, tant au plan individuel qu’au plan collectif, et il visait à mettre en lumière le croisement des discours (discours littéraire, discours gastronomique, discours médical, discours politique) qui sous-tendait ces représentations au XIXe siècle, et qui a progressivement donné corps à ce qu’on pourrait appeler une « littérature de l’estomac ».
Le colloque a donné lieu à publication : Éléonore Reverzy, Bertrand Marquer (dir.), La Cuisine de l’œuvre au XIXe siècle. Regards d’artistes et d’écrivains, Presses Universitaires de Strasbourg, « Configurations littéraires », 2013.
Ce Congrès international, le 6e du REARE (Réseau Euro-Africain de Recherches sur les Épopées), fut organisé par Muriel Ott (CELAR) et Romuald Fonkoua (CERIEL), avec les soutiens de l’EA 1337, de l’EA 3017 RARE (« Rhétorique de l’Antiquité à la Révolution », Grenoble) et de l’Agence Universitaire de la Francophonie. Rassemblant près de 50 chercheurs venus d’Afrique, d’Europe et d’Iran, il avait pour objectif d’étudier les légendes mettant en scène des héros en qui s’incarne l’identité d’un peuple ou d’une nation, et dans lesquelles la mort du principal protagoniste (ou d’un de ses compagnons d’armes) constitue non seulement un moment suprême de l’action héroïque, mais également l’occasion d’interroger tout à la fois le sens de la vie guerrière et la destinée historique d’une communauté.
La publication des actes se fera aux éditions Karthala, coll. Littératures du Sud, en 2017.
Le colloque « Discours du management, du travail, de l’économie : représentation/fiction » organisé par Corinne Grenouillet (CERIEL, EA 1337) et Catherine Vuillermot-Febvet (Laboratoire des Sciences Historiques, EA 2273, Université de Franche-Comté) a réuni une vingtaine de chercheurs issus de discipline différentes (lettres, histoire, sciences de gestion, sciences de l’éducation, sociologie, géographie, linguistique, sciences politiques). Il s’est agi de comprendre comment le vocabulaire de l’entreprise et du monde des affaires s’était progressivement imposé pour devenir, dans tous les domaines de la société depuis les années 1980, le registre dominant de compréhension du monde et de la « crise ». La littérature de l’extrême contemporain y a fait l’objet de sept interventions, qui ont montré comment elle travaille la langue du management et de l’économie pour en révéler le fonctionnement et en opérer la subversion. Ce faisant, la littérature participe, aux côtés des sciences humaines, d’un mouvement critique des discours économiques et managériaux.
Le colloque a donné lieu à une publication : C. Grenouillet et C. Vuillermot-Febvet (dir.) ; La Langue du management et de l’économie à l’ère néo-libérale : formes sociales et littéraires, Presses Universitaires de Strasbourg, 2015.
Le colloque international annuel du CERLI (Centre d’Études et de Recherches en Littératures de l’Imaginaire, http://www.cerli.org) a été organisé en 2013 à l’IUFM d’Alsace, par Philippe Clermont (CERIEL) et Patrick Absalon (Centre d’Études et de Recherche sur les Littératures de l’Imaginaire, CERLI, Paris XII-Créteil). Partant du constat que les études littéraires concernant la science-fiction, le merveilleux, le fantastique ou la fantasy approchent aussi d’autres expressions artistiques comme le cinéma ou la bande dessinée, mais plus rarement les arts plastiques ou la musique, le colloque visait à combler ce manque en montrant combien les littératures de l’imaginaire s’appuient fréquemment sur le réel artistique et même sur l’histoire de l’art ou de la musique pour déplacer les signes, créer des contrastes et transporter les médias et les techniques là où on ne les attend pas.
La publication des actes est en cours de préparation pour parution dans la collection « Écritures de l’imaginaire, nouveaux cahiers du Cerli », sous l’égide de Christian Chelebourg, éditions Classiques Garnier.
Ce colloque international, placé sous le haut patronage de l’Académie Goncourt, fut organisé par Eléonore Reverzy (CERIEL, EA 1337) et Nicolas Bourguinat (Arts Civilisation et Histoire de l’Europe, EA 3400). Il a réuni une vingtaine de conférenciers pour étudier comment les deux frères écrivains avaient abordé la fiction à travers la question de sa virtualité historique et recouru, parallèlement, à un important travail de documentation, de dépouillement d’archives, d’enquêtes pour leurs ouvrages historiques et pour leurs romans. Le colloque comportait trois principaux axes de recherche : « Fiction et histoire chez les Goncourt », « Les Goncourt et l’histoire de leur temps », « Les Goncourt et les périodes historiques ». Il s’agissait d’analyser ainsi comment les romans invitaient à une réflexion rétrospective sur des destins collectifs, exemplifiés par quelques personnages emblématiques, et comment leurs auteurs, par-delà leur dédain de façade pour l’histoire immédiate, avaient en réalité porté un regard minutieux et presque chirurgical sur l’évolution de la France, de l’échec de la République de 1848 jusqu’à la consolidation de la IIIe République. Il s’agissait enfin de reconnaître leur apport à l’historiographie, et notamment leur place dans la redécouverte (ou la réinvention ?) d’un « beau XVIIIe siècle ».
La publication des actes est en cours de préparation.
Cette journée d’études visait à repenser à nouveaux frais la question des frontières entre les genres, que ces derniers soient « littéraires » (voisinage de la littérature de jeunesse avec la littérature populaire, le roman policier, le roman sentimental…) ou « sociaux » et « sexuées » (comme les publications « genrées », pour filles ou pour garçons).
Cette journée d’études a donné lieu à publication : Ph. Clermont et D. Henky (dir.) : Esthétiques de la distinction : gender et mauvais genres en littérature de jeunesse, « Kinder- und Jugend kultur, -literatur und -medien », Bern, Berlin, Bruxelles, Peter Lang, 2013.
Il s’agissait de mettre en œuvre une première réflexion sur les conditions d’élaboration (recherche de documentation, rédaction de brouillons manuscrits ou tapuscrits, esquisses de dessins d’albums, etc.) dans le domaine de la littérature de jeunesse, qui est jusque-là restée largement à l’écart des approches critiques en terme de génétique ou de sociologie des œuvres.
La relecture des actes est en cours, pour parution chez Peter Lang à la fin de l’année 2016.
Né en 1947, mort prématurément à Brazzaville le 14 juin 1995, Sony Labou Tansi était une figure de proue de la littérature africaine francophone. Il a laissé derrière lui six romans - tous publiés au Seuil - ainsi que des pièces de théâtre, des poèmes, des essais critiques. Relus aujourd’hui, ses textes apparaissent d’une actualité brûlante : Sony Labou Tansi dénonçait en effet fréquemment la « poudrière incontrôlée » qu’est devenue la planète, ou l’avènement du « grand marché de la misère et du dénuement », et son corollaire, la fabrique d’« un réservoir de terroristes et de désespérés ». Le vingtième anniversaire de sa disparition a été marqué par de nombreuses célébrations et éditions, dont ses Poèmes (CNRS Éditions, 2015) une anthologie d’essais (Encre, sueur, salive et sang, Seuil, 2015), et des inédits de théâtre, témoignages, écrits et regards critiques (La Chair et l’Idée, 2015).
Depuis sa création, le CERIEL organise chaque année un séminaire de recherches qui porte sur des thématiques innovantes et réunit les membres titulaires et les étudiants-chercheurs (master et doctorat) autour de conférenciers invités, que ces derniers soient extérieurs à l’université de Strasbourg, membres de cette université ou simplement membres de l’équipe d’accueil.
– 21 janvier 2011 : Nicolas Wanlin (Université d’Arras) « La culture pittoresque d’Aloysius Bertrand ».
– 4 février 2011 : Patricia Principalli (Université de Paris-Est Créteil), « Simon Richard dans La Semaine sainte d’Aragon : errance et souffrance, entre drame historique et crise amoureuse ».
– 24 février 2011 : Marie-Christine Mourier (Université de Valenciennes)-, « Les Corps conducteurs et Orion aveugle de Claude Simon, le déplacement des corps dans le plein du monde ».
– 1er avril 2011 : Hervé Bismuth (Université de Bourgogne), « Figures de vagabond dans Les Grands Chemins de Jean Giono ».
– 14 avril 2011 : Crystel Pinçonnat (Université de Paris VII), « La “jungle” de Calais et ses représentations (photographie, cinéma, littérature). De quelques partis pris esthétiques ».
– 24 novembre 2011 : atelier animé par Brigitte Dodu, Corinne Grenouillet, Éléonore Reverzy autour de l’écriture du document.
– 19 janvier 2012 : Isabelle Hautbout (Université de Picardie - Jules Verne), « Émergence du document dans le roman historique ».
– 9 février 2012 : Christian Poslaniec (écrivain, essayiste), « Une étape alchimique dans la création d’un livre (pour la jeunesse) ».
– 15 mars 2012 : Denis Poissonnier (Université de Strasbourg, doctorant), « La Joie de Vivre, fictionnalisation d’une philosophie et textualisation de documents ».
– 30 mars 2012 : Dominique Meyer-Bolzinger (Université de Haute Alsace), « Les documents dans Rue des Boutiques Obscures, un faux roman policier de Patrick Modiano ».
– 5 avril 2012 : Bertrand Marquer (Université de Strasbourg), « Document et “fantastique réel” (Edmond Picard) à la fin du XIXe siècle ».
– 18 octobre 2012 : Charlotte Lacoste (Université de Paris VIII - Vincennes), « Le témoignage, genre documentaire et littéraire ».
– 31 janvier 2013 : Christian Grenier (auteur de littérature de jeunesse et chercheur), « De l’idée à l’écrit, du brouillon à l’édition ».
– 15 février 2013 : Fleur Bastin (Université de Strasbourg, doctorante), « Le genre du document : le cas Zola ».
– 21 mars 2013 : Romuald Fonkoua (Université de Paris IV-Sorbonne), « La littérature comme document. Essai sur les littératures francophones ».
– 12 avril 2013 : Armelle Talbot (Université de Strasbourg, Arts du spectacle), « Formes et usages du document dans le théâtre contemporain (11 septembre 2001 de Michel Vinaver, Rwanda 94 du Groupov, L’Instruction de Peter Weiss) ».
– 26 avril 2013 : Hugues Marchal (Université de Bâle), « La fabrique du document : réflexions autour de la constitution d’une anthologie sur la poésie scientifique du XIXe siècle ».
– 29 novembre 2013 : Alexandre Péraud (Université de Bordeaux III), « Pathologies économiques dans le roman du XIXe siècle ».
– 30 janvier 2014 : Claire Pignol (Université de Paris 1 - Panthéon Sorbonne), « Un désir de richesse énigmatique : Perec, Bon, Beinstingel ».
– 6 février 2014 : Juliette Benamron (Université de Strasbourg), « Émergence d’une nouvelle figure romanesque : le Juif ».
– 14 février 2014 : Christophe Reffait (Université d’Amiens), « Le Traité d’économie politique de Jean-Baptiste Say et le roman ».
– 28 mars 2014 : Anne Kaczmarek (Université d’Opole, Pologne), « Zola et l’économie »
– 11 avril 2014 : Christine Baron (Université de Poitiers), « Omniprésence de l’économie ». Autour du numéro d’Épistémocritique (volume 12) consacré à Littérature et économie.
– 18 décembre 2014 : Sabrina Parent (Fonds National de la Recherche Scientifique, Université Libre de Bruxelles), « (Ré-) Interpréter l’événement historique à l’aune du “fait littéraire”: Réflexions à partir de la mutinerie et du massacre de Thiaroye ».
– 5 février 2015 : Perluigi Pellini (Université de Sienne), « Sources économiques, écriture de l’histoire et logique de l’utopie dans Germinal ».
– 13 février 2015 : Anthony Mangeon (Université de Strasbourg), « L’invisibilité du visible. Repenser l’avènement /événement du mage noir dans la peinture occidentale à la lumière de la littérature antillaise contemporaine » .
– 12 mars 2015 : Damien Zanone (Université de Louvain), « Waterloo, ou comment dire un événement en littérature ».
– 26 mars 2015 : Niklas Bender (Université de Freiburg), « L’événement dans le roman historique de Victor Hugo : l’exemple de Quatrevingt-treize ».
– 5 novembre 2015 : Virginie Brinker (Université de Bourgogne), « Entre “style iconique” et “survoyance”, place et enjeux de la littérature vis-à-vis de la construction et de la transmission mémorielles, dans une société de l’image. L’exemple des œuvres de fiction sur le génocide des Tutsi au Rwanda ».
– 4 décembre 2015 : Catherine Brun (UMR 7172 THALIM, Université de la Sorbonne nouvelle Paris 3), « Histoire, ignorances, résurgences, oublis : quel(s) savoir(s) pour quelle(s) mémoire(s) de la guerre d’Algérie ? ».
– 14 janvier 2016 : Laurent Dubreuil (Cornell University, États-Unis), « Futurs anachroniques et constructions événementielles ».
– 10 mars 2016 : Corinne Grenouillet (Université de Strasbourg), « La mémoire de l’événement ouvrier dans la littérature contemporaine ».
– 1er avril 2016 : Sylvie Servoise (Université du Maine), « “La révolution n’a pas eu lieu” : sur Le Guépard de Giuseppe Tomasi di Lampedusa ».
– 8 avril 2016 : Xavier Bourdenet (ESPE de Paris), « Fixer la trace : la difficile textualisation de l’événement "1830" chez Stendhal ».
– 2 septembre 2011 : présentation par Alain Vaillant (Université de Paris Ouest-Nanterre) de son ouvrage L’Histoire littéraire, Armand Colin, 2010.
– 29 novembre 2012 : présentation par Stéphane Zékian (CNRS, UMR LIRE) de L’Invention des classiques, Le siècle de Louis XIV existe-t-il ?, Éditions du CNRS, 2012 (conférence co-organisée avec le CELAR).
– 26 septembre 2013 : présentation par Dominique Kalifa (Université de Paris I, Panthéon-Sorbonne) de son ouvrage Les Bas-fonds. Histoire d’un imaginaire, Le Seuil, coll. « L’Univers historique », 2013.
– Jeudi 16 octobre 2014 : présentation par Andrea Del Lungo (Université de Lille III) de son ouvrage La Fenêtre. Sémiologie et histoire de la représentation littéraire, Le Seuil, coll. « Poétique », 2014.
– 10 et 11 juin 2011 : « Aragon et Les Lettres françaises », colloque organisé par l’ERITA, Corinne Grenouillet (EA 1337), Luc Vigier (ITEM-CNRS), et Maryse Vassevière (Centre de recherches sur le surréalisme Université Sorbonne Nouvelle - Paris III), Saint-Arnoult en Yvelines.
Le colloque a donné lieu à publication : Recherches croisées Aragon/ Elsa Triolet n°14 : Aragon et Les Lettres françaises, sous la dir. de Maryse Vassevière et de Luc Vigier, Presses Universitaires de Strasbourg, 2013.
– 12 et 13 décembre 2012 : « Mémoires et représentations de la déportation en Europe aujourd’hui », colloque co-organisé par Danièle Henky (CERIEL, EA 1337) et Michel Fabréguet (FARE - Frontières, Acteurs et Représentations de l’Europe, Institut d’Études Politiques de Strasbourg).
Le colloque a donné lieu à publication : Mémoires et représentations de la Déportation dans l’Europe contemporaine, sous la direction de Danièle Henky et Michel Fabréguet, Paris, L’Harmattan, 2015.
– 22 janvier 2011 : Aragon, journée des jeunes chercheurs
– 15 octobre 2011 : Aragon / André Breton ; Hourra l’Oural
– 21 janvier 2012 : Aragon et l’édition communiste
– 15 décembre 2012 : Aragon aujourd’hui (« Matinée : Pierre Juquin présente sa biographie d’Aragon » ; « L’après-midi des jeunes chercheurs »).
– 23 février 2013 : Elsa Triolet
– 13 octobre 2013 : Aragon, Du témoin des Martyrs au traducteur
– 1er février 2014 : Aragon, lu d’ailleurs
– 13 décembre 2014 : Aragon, réception et histoire
– 10 octobre 2015 : Lire Elsa Triolet, Journée d’études organisée en collaboration avec A. Trouvé (CRIMEL, Reims) et Marianne Delranc (Paris).
– 23 juin 2016 : « Questions d’herméneutique rimbaldienne ». Journée d’études sur Rimbaud organisée par Yann Frémy (CERIEL) et Alain Vaillant (U. Paris Ouest Nanterre), Maison de Chateaubriand
– 7 février 2015 : Bernard Mouralis, « Le Sud du Nord. Littérature française, littérature francophone », modératrice : Fernanda Machado.
– 7 mars 2015 : Arnaud Huftier, « Le fantastique dans la littérature francophone. L’exemple de la littérature belge », modératrice : Mahaut Rabaté.
– 28 mars 2015 : Juliette Vion-Dury, « Psychanalyse et littératures ».
– 18 avril 2015 : Papa Samba Diop, « Archéologie du fait littéraire », modératrice : Christiane N’Diaye.
– 16 mai 2015 : Anthony Mangeon, « Pour une histoire littéraire intégrée », modérateur : Florian Alix.
– 30 janvier 2016 : Martine Mathieu-Job, « French Postcolonial : L’Empire vous répond. The Empire Writes Back en France ».
– 13 février 2016 : Anthony Mangeon, « L’Abécédaire de Jean-Loup Amselle ». Jean-Loup Amselle, « Anthropologie et littérature ».
– 19 mars 2016 : Paul Dirkx, « Approches sociocritiques de la littérature francophone. Le cas de la Belgique », modératrice : Veronica Ntsoumos.
– 16 avril 2016 : Juliette Vion-Dury, « Sculpture et littérature : Simone Boisecq et Aimé Césaire », modératrice : Mahaut Rabaté.
– 21 mai 2016 : Guy Dugas, « Enjeux de l’édition critique. Albert Memmi : Portraits », modératrice : Céline Gahungu.
1. Le Roman viril : fictions et dictions du féminin chez Zola : des Contes à Ninon à Justice, par Fleur Bastin-Hélary, sous la direction d’Éléonore Reverzy, soutenue le 5 décembre 2014.
2. Rire et fantastique dans la littérature romantique, de 1821 à 1869, par Catherine Rapenne sous la direction d’Éléonore Reverzy, soutenue le 26 juin 2014.
3. Les écritures africaines de soi : 1950-2010 : du postcolonial au postracial ? par Yannick Martial Ndong Ndong, sous la direction d’Anthony Mangeon, soutenue le 10/06/2014.
4. Gobineau iranien : le tropisme oriental dans la vie et dans l’oeuvre de Gobineau, par Nahid Djamali sous la direction d’Éléonore Reverzy, soutenue le 4 décembre 2013.
5. « Manette et Moïse » : poétique du Juif de fiction dans la littérature, au tournant du siècle 1867-1929, par Juliette Benamron-Rosner (Rosner) sous la direction d’Éléonore Reverzy, soutenue le 21 novembre 2013.
6. L’Afrique vue de Pologne : voyages et images littéraires, par Anna Garycka-Balmitgere (Garycka), sous la direction de Romuald Fonkoua, soutenue le 9 janvier 2013.
7. Ecriture et enracinement dans le roman négro-africain francophone, par Richmond Alain Konan sous la direction de Romuald Fonkoua, soutenue le 21 juin 2012.
8. I folli in cammino : saggio sulle rappresentazioni e i significati della figura del folle nelle letterature dell’Africa nera, francofone e anglofone, dalle indipendenze ai giorni nostri par Valentina Tarquini sous la direction de Romuald Fonkoua et de Benedetta Papasogli, soutenue le 2 mai 2012.
9. Réalismes dans le récit haïtien contemporain : expression et représentation de la conscience sociale, par Peggy Raffy sous la direction de Romuald Fonkoua, soutenue en 2011.
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