L'Institut de littérature comparée et son groupe de recherches L'Europe...
L'Institut de littérature comparée de l'Université de Strasbourg et son...
Enseignements 2025: reportez-vous au site de la faculté des lettres.
Quel est le crime suprême que puisse commettre un écrivain ? Le plagiat, pour sûr. Et à quelle extrémité pourrait bien se résoudre un auteur pour masquer les traces de son forfait, ou pire, pour se débarrasser d’une influence trop encombrante ? Au meurtre du père ou d’un pair – c’est souvent tout un. On devient ainsi, selon les circonstances, « l’auteur d’un crime » comme on est « l’auteur d’une œuvre ».
Cet essai s’intéresse donc aux romans des écrivains qui ont mis le plagiat et l’assassinat au cœur de leurs intrigues. Des avant-gardes du début du XXe siècle aux romanciers francophones contemporains, du roman policier au roman de campus, de l’adaptation à la fiction cinématographique, on voit ainsi s’esquisser le portrait-robot de l’écrivain plagiaire ou assassin, simple victime ou, au contraire, bourreau pervers de ses rivaux.
Boris de Schloezer. Scriabine. Édition établie et commentée par Tatiana...
L'Institut de littérature comparée et son groupe de recherches L'Europe...
Les Histoires de Tasì Hangbé présentent plusieurs récits sur cette figure...