Côme de La Bouillerie soutiendra sa thèse de littérature française,...
Enseignements 2023-2024, reportez-vous au site de la faculté des lettres....
Que l’on y croie ou non, que l’on en voie ou que l’on refuse d’en voir – autant de positions qui n’ont guère d’incidence sur les fantômes et leurs apparitions : personnages de fiction, projections de l’imagination, images de l’art ou figures de croyance, ces êtres revenus de la mort hantent notre culture.
Quelque époque, quelque paradigme culturel, religieux ou scientifique que l’on envisage, ni le degré de réalité ni la signification de l’apparition fantomatique ne font consensus : la question de sa « visibilité » résiste à toute espèce de raisonnement. Il n’y a dès lors rien d’étonnant à ce que les études spécialisées soient si peu nombreuses et qu’elles se donnent des objectifs limités : pour les arts, les arts du spectacle et la littérature, un corpus restreint d’œuvres ou de textes ; pour les sciences religieuses et anthropologiques, un champ culturel ou théologique spécifique ; pour les sciences psychologiques et médicales, des pathologies ou des phénomènes précis.
F. Goya, Los Proverbios, 2, « Disparate de miedo », estampe (v. 1816-1824)
Source : Gallica, BNF
Le projet « voir des fantômes » invite à un travail interdisciplinaire dans une perspective diachronique et synchronique pour mettre en relation la question de la représentation et de l’apparition de fantômes avec le rapport à la mort, au vivant et au surnaturel.
Au sein des disciplines littéraires et artistiques, l’apparition et la représentation fantomatiques concernent un grand nombre de recherches ayant trait à l’imaginaire et à la croyance, sans limitation de genre ou d’idéologie : il existe des fantômes païens ou chrétiens, plaisants ou effrayants, poétiques ou dramatiques. Les arts visuels, le théâtre et l’opéra figurent et stylisent à travers eux notre rapport à la mort ; plus encore, ils donnent vie, épaisseur et sensibilité à ce qui n’a pas d’existence et le projettent sur la scène du visible.
Théologiens et philosophes conceptualisent et problématisent également la question du fantôme : ils inspirent les représentations artistiques, théâtrales et littéraires, réagissent aux œuvres et les interprètent. L’histoire des sciences, quant à elle, permet de saisir le déplacement des enjeux de la vision fantomatique, mais aussi de comprendre les délicats rapports entre croyance et savoir.
Les travaux scientifiques touchant aux phénomènes d’hallucination et d’illusion d’optique, aux mécanismes cognitifs de la croyance et de la perte de repères, voire à la réflexion épistémologique sur le certain, le possible et l’hypothétique, viendront enrichir les approches littéraires et artistiques. En retour, la littérature, le théâtre et les arts apparaissent comme de vastes encyclopédies de cas divers susceptibles d’intéresser les chercheurs en psychologie, en neurosciences et en philosophie des sciences.
Cet échange interdisciplinaire permettra de mieux comprendre les processus de la représentation fantomatique, ses significations et ses enjeux.
CHER (Culture et Histoire dans l’Espace Roman) - EA4376
CARRA (Centre d’Analyse des Rhétoriques Religieuses de l’Antiquité) - EA 3094
Configurations littéraires - EA1337
COLLOQUE INTERDISCIPLINAIRE INTERNATIONAL
Voir des fantômes
Strasbourg, 14-16 octobre 2015
Mercredi 14 octobre
13h30 : Accueil et ouverture du colloque
Session 1 (Salle de Conférences)
Fantômes antiques – La magie des origines
14h : Györgi Karsai (Université de Budapest, Université de Pécs) : Teucros et le fantôme d’Hélène (Euripide, Hélène 68-163).
14h30 : Michaël Martin (Centre Paul-Albert Février) : Nekudaimon et fantômes dans les papyrus grecs magiques.
15h : Patrick Crowley (Université de Chicago) : Phantom Limbs in Greek and Roman Art.
15h30 : Olivier Szerwiniack (Université de Picardie Jules Verne, IUF) : Les fantômes paradoxaux de l’Énéide de Virgile.
16h : Discussion et pause
Session 2 (Salle de Conférences)
Au théâtre des ombres (1) – Les fantômes entre tragique et comique
16h45 : Paola Ranzini (Université d’Avignon) : Les ombres inquiétantes : fantômes familiers et fantômes étrangers (XVIIIe-XIXe siècles).
17h15 : Vincenza Perdichizzi (Université de Strasbourg) : Les fantasmes du pouvoir, les fantômes du désir et de la culpabilité dans la tragédie italienne entre tournant des Lumières et Romantisme.
17h45 : Fanny Platelle (Université Blaise Pascal, Clermont-Ferrand) : Les fantômes de « dame blanche » dans le théâtre (populaire) viennois de la fin du XVIIIe et du début du XIXe siècles.
18h15 : Discussion, puis soirée libre
Jeudi 15 octobre
Session 3 (Salle de Conférences)
Fantômes en textes
9h : Daniel Sangsue (Université de Neuchâtel) : Fantômes et apparitions mariales au XIXe siècle.
9h30 : Bertrand Marquer (Université de Strasbourg, IUF) : « Idée représentative » et mémoire- fantôme : La Deux fois morte de Jules Lermina.
10h : Discussion et pause
10h30 : Luc Fraisse (Université de Strasbourg, IUF) : Les démêlés du romancier de La Recherche avec le spiritisme.
11h : Nathalie Besse (Université de Strasbourg) : Fantômes de la guerre au Nicaragua dans Tu fantasma, Julián (1992) de Mónica Zalaquett et En carne viva (1994) de Conny Palacios.
11h30 : Discussion, puis déjeuner
Session 4a (Salle de la Table ronde)
La première modernité, ou le temps de la défiance
14h : Alejandra Guzmán Almagro (Université de Barcelone) : Ancient names for modern fears : the glossarium of ghosts in Ludwig Lavater’s De spectris.
14h30 : Nicolas Correard (Université de Nantes) : Les pseudo-spectres dans la fiction comique humaniste : du faire-croire au faire-douter (XVIe-XVIIe siècles).
Session 4b (Salle de Conférences)
Voir des fantômes, hier et aujourd’hui (1) : variations audio-visuelles
14h : Laurent Bury (Université Lumière-Lyon 2) : À quel spectre se vouer ? Vivants et revenants dans l’art victorien.
14h30 : Philippe Baudouin (Radio France/France Culture) : « Mettre un gramophone dans chaque tombe » : Thomas A. Edison et la fabrique des « machines à fantômes ».
15h : Discussion et pause
Session 5 (Salle de Conférences)
Voir des fantômes, hier et aujourd’hui (2) : projections contemporaines
15h30 : Lambert Barthélémy (Université de Poitiers) : « Die Todten reiten schnell » – Les morts chevauchent vite – (et encore aujourd’hui).
16h : Mireille Berton (Université de Lausanne) : Projeter des fantômes, le médium spirite au cinéma.
16h30 : Benjamin Thomas (Université de Strasbourg) : Une présence (cinématographique) : sur quelques lieux vides, et pourtant habités.
17h : Lionel Obadia (Université Lumière-Lyon 2, USIAS) : Orbes, spectres et vidéos : métamorphoses techno- symboliques de la mythographie du fantôme.
17h30 : Discussion
20h : Dîner au restaurant Strissel
5, place de la Grande Boucherie – Strasbourg
Vendredi 16 octobre
Session 6 (Salle de Conférences)
Au théâtre des ombres (2) – Fantômes sur scène
9h : Lucie Thévenet (Université de Nantes) : Fantômes tragiques sous contrainte théâtrale : l’exemple de Polydore dans l’Hécube d’Euripide.
9h30 : Pierre Katuszewski (Université de Bordeaux-Montaigne) : Les fantômes à l’épreuve de la scène contemporaine.
10h : Discussion et pause
10h30 : Nicola Pasqualicchio (Université de Vérone) : Pas de mère : présences fantomatiques dans deux pièces brèves de Samuel Beckett.
11h : Laura Forti (Auteur dramatique et metteur en scène) : Incarnare la memoria : analisi di Cannibali e Jubilaum di George Tabori.
11h30 : Discussion et déjeuner
Session 7 (Salle de Conférences)
La hantise, ou le fantôme comme symptôme
14h : Stéphanie Sauget (Université François Rabelais, Tours) : Voir des fantômes dans les maisons : un problème troublant au XIXe siècle.
14h30 : Massimo Scotti (Université Kore – Enna) : Remplir (d’images) un vide : le problème du fantôme.
15h : Discussion et pause
15h30 : Isabella Mattazzi (Université de Ferrare) : « The English Malady » : la redéfinition du surnaturel en tant que pathologie dans les écrits de Daniel Defoe et les essais médicaux de George Cheyne.
16h : Renaud Évrard (Université de Lorraine, Nancy) : « Je vois des gens morts » : perspectives cliniques.
16h30 : Pascal Le Maléfan (Université de Rouen) : Le fantôme, « cette image qui peut surprendre l’âme de tous et de chacun » (J. Lacan) : clinique lacanienne du deuil et du fantôme.
17h : Discussion et clôture du colloque
Dans le prolongement des rencontres interdisciplinaires organisées à Strasbourg depuis janvier 2013 sur le thème « voir des fantômes », un colloque interdisciplinaire et international se tiendra du 14 au 16 octobre 2015, à l’Université de Strasbourg, sous le triple patronage du CHER, du CARRA et de l’Équipe Configurations littéraires.
La perspective interdisciplinaire, faisant dialoguer les approches littéraires (figures et personnages surnaturels assimilés aux fantômes, topoï et mises en récit de l’apparition fantomatique ou spectrale) et artistiques (arts du spectacle et arts visuels) avec les approches historiques et anthropologiques (histoire des croyances et des représentations culturelles, études psychologiques et parapsychologiques), permet de mettre en lumière la profonde cohérence des concepts, croyances et représentations qui concernent notre rapport à la mort, à l’inconscient et à la surréalité.
Il s’agira d’examiner non pas tant l’influence des croyances et des représentations culturelles sur les arts et la littérature que leur profonde cohérence et leur interaction : en matière de fantômes, la littérature, le théâtre et les arts ne cessent d’alimenter et de reconfigurer la culture et les croyances d’une époque, le plus souvent selon des modalités ambiguës, la mise à distance ludique, critique ou ironique de ces représentations alternant avec une gamme très large d’émotions et d’affects. Cohérence et interaction que révèle l’étude conjointe des représentations artistiques et littéraires prises dans leur spécificité (historique, linguistique et esthétique) et des réalités culturelles et religieuses. Les rituels funéraires de l’Antiquité ou de sociétés dites primitives – mais les rituels de notre modernité gagneraient aussi à être scrutés sous cet angle – entretiennent avec les arts et la littérature des relations complexes de transmission et d’acculturation par exemple, ou encore d’adaptation et d’interprétation. Les connaissances anthropologiques s’avèrent précieuses pour appréhender les enjeux de l’apparition fantomatique ainsi que pour analyser la construction poétique et esthétique des œuvres.
On interrogera le rapport à la mémoire que le fantôme instaure ou restaure – rapport au temps et à la mort, mais aussi rapport à soi et à l’autre. Poèmes et fictions élaborent des histoires qui font interagir le fantôme avec celui qui l’évoque, le rêve ou le subit ; pour comprendre les enjeux de ces histoires et apprécier leur force, ce n’est pas au fantôme comme thème ou objet qu’il faut s’intéresser, mais au fantôme en tant que rencontre. Voir un fantôme rend-il heureux ? En quoi la vision du fantôme est-elle une confrontation, une lutte, une épreuve ? Dans quelle dynamique affective – familiale, sociale, psychique – le fantôme engage-t-il le vivant ? Les connaissances et problématiques issues des neurosciences et de la psycho(patho)logie s’avèreront ici précieuses : quels mécanismes mentaux et cognitifs la vision des fantômes mobilise-t-elle ? Comment donne-t-on du sens à l’apparition fantomatique, comment un individu, un proche, un praticien, une société parviennent-ils à faire du sens à partir de ce qui résiste à l’effort de rationalisation ? L’expérience thérapeutique révèle toutes les résistances d’une culture telle que la nôtre à donner du sens à ce qui semble ne pas en avoir, mais montre aussi comment l’imaginaire crée du lien et élabore du symbolique à partir d’une expérience irrationnelle.
À la question du « pourquoi » on voit ou on fait « voir des fantômes », on ajoutera celle du « comment ». En ce qui concerne les arts et le théâtre, elle renvoie aux moyens, aux techniques et aux ressources que les dramaturges et les artistes élaborent et utilisent pour faire « voir des fantômes ». L’histoire du théâtre, des costumes, de la mise en scène et les hybridations multiples entre les différents arts de la scène ainsi qu’avec les autres arts et avec les media modernes offrent de nombreuses voies à explorer pour mettre au jour quelques unes des modalités de la représentation fantomatique. Comment matérialiser, sur scène ou devant un appareil photographique ou une caméra, une vision fantomatique, et comment représenter le trouble et le questionnement qu’elle suscite ? Comment « animer » un fantôme, quel espace, quelle durée, quelle matérialité lui conférer ? Autant de questions pour lesquelles on sollicitera les travaux de spécialistes du théâtre, d’histoire de l’art ou des arts visuels portant sur des œuvres de toute époque et de toute aire culturelle.
Cette question du « comment » intéresse aussi bien évidemment les poètes et écrivains de fiction. Sinon concurremment du moins parallèlement aux approches en termes de genres littéraires, on s’intéressera aux motifs et aux procédés de description et de narration pour expliciter les enjeux symboliques et esthétiques de l’apparition fantomatique. Sous cet angle en effet, c’est moins comme objet ou thème que comme phénomène que le fantôme s’offre à l’analyse. Les intentions des auteurs sont souvent très difficiles à cerner : sont en cause, d’une part, les implications idéologiques que la simple évocation de ce sujet a toujours véhiculées ; d’autre part, les croyances et les traces de croyances que le fantôme réveille toujours dans l’imaginaire. Pour autant, il est important de s’y intéresser, en se mettant à l’écoute des textes dans leur singularité pour démêler l’écheveau symbolique des figures fantomatiques, sans préjuger des croyances de telle ou telle époque et sans s’autoriser de tel ou tel effet de « mode ». Les mages, sorciers, prêtres sont, tout autant que les poètes, les dramaturges et les peintres à la fois des interprètes, des médiateurs et des inventeurs de fantômes.
En retour, on étudiera les attentes implicites ou explicites qui commandent la représentation fantomatique et les fonctions qui lui sont dévolues en contexte : outre le divertissement, parfois ambivalent, qu’il procure, le fantôme peut endosser des fonctions politiques et idéologiques, de transgression, de contestation ou encore de compensation. La réception de la vision fantomatique, que cette vision soit liée à des croyances, à des rites ou à des configurations littéraires et artistiques, met en jeu le besoin de voir et de représenter l’invisible.
Les propositions de communication (titre et résumé accompagnés d’une courte notice bio-bibliographique) sont à adresser d’ici fin janvier 2015 conjointement à dantonio@unistra.fr - cschneid@unistra.fr - sempere@unistra.fr pour transmission au comité scientifique du colloque.
La durée de chaque communication sera de 30 minutes, discussion comprise. Les langues du colloque sont le français et l’anglais, ainsi que l’allemand, l’espagnol et l’italien (pour ces dernières, des résumés en français ou en anglais sont demandés).
Francesco D’Antonio - Catherine Schneider - Emmanuelle Sempère
Francesco D’Antonio (CHER – EA4376)
Catherine Schneider (CARRA – EA3094)
Emmanuelle Sempère (Configurations littéraires – EA1337)
Le projet "Voir des fantômes" est soutenu par trois équipes de recherche et porté par :
Francesco D’Antonio (CHER) | |
Emmanuelle Sempère |
|
(CARRA/ILBR) |
7 Novembre 2014 : Mathieu JUNG (doctorant P. Dethurens, Strasbourg) :
« Ulysse de James Joyce : tentative de spectrographie »
(Attention changement d'horaire : 16 h - 18 h, Portique côté rue, Salle 409)
20 Novembre 2014 : Emmanuelle SEMPÈRE (Université de Strasbourg) :
« Faux-monnayeurs et faux fantômes dans Olivier de Jacques Cazotte »
(Attention ! jeudi 17h-19h, Portique côté rue, Salle 409 ou 410)
23 Janvier 2015 : Rémy POIGNAULT (Université de Clermont-Ferrand) :
« Hadrien et les ombres »
(14h30-16h30, Misha, Salle de la table ronde)
Conférence d’agrégation sur le programme des Lettres Modernes et Classiques (Yourcenar, Mémoires d’Hadrien)
L’empereur Hadrien, chez Marguerite Yourcenar, a un aspect solaire très marqué dans le groupement de chapitres de Mémoires d’Hadrien intitulé « Saeculum aureum », mais c’est aussi un être en quête spirituelle ; il pratique les sciences occultes et il côtoie ou essaie d’évoquer à plusieurs reprises les ombres pour répondre à ses interrogations et surmonter la crise ouverte par la mort de l’aimé. L’humanisme qui nous est présenté ici est « un humanisme qui passe par l’abîme »
25 Octobre 2013, Véronique LUZEL (Université de Strasbourg) : La représentation des apparitions surnaturelles de la Renaissance : quelques aspects (14h-16h, Portique côté rue, Salle 409)
8 Novembre 2013 , Fanny PLATELLE (Université de Clermont-Ferrand) : Les fantômes dans le théâtre populaire viennois (fin XVIIIe - début XIXe siècles) (14h-16h, Portique côté rue, Salle 409)
15 Novembre 2013, György KARSAI (Université de Pécs–Hongrie) : Ce que le héros voit et ce qu'il ne voit pas dans l'épopée et dans la tragédie grecque (quelques exemples: Achille, Ulysse, Ajax, Penthée) (14h-16h, salle affichée ultérieurement) (14 h - 16 h, Portique côté campus, Salle 403)
6 Décembre 2013, Luana QUATTROCELLI (Université de Strasbourg) : Le fantôme d’Hélène (14h-16h, Misha, Salle de la table ronde)
31 Janvier 2014, Enza PERDICHIZZI (Université de Strasbourg) : Fantômes et mémoire dans les poèmes de Giovanni Pascoli (14h-16h, Misha, Salle de la table ronde)
7 mars, Myriam CHOPIN (Université de Haute Alsace) : La fonction des revenants dans les récits autobiographiques, les mirabilia, et les exempla du XIe au XVe siècle (14h-16h, Misha, Salle de la table ronde)
21 Mars 2014, Cristina BARBATO (Université de Paris 8) : Le fantôme de la Semiramide de Rossini face aux scènes contemporaines : représentation du destin ou projection de l’imaginaire ? (14h-16h, Portique côté rue, Salle 409)
4 Avril 2014, Florence BERGER (psychologue clinicienne, responsable du pôle Santé jeunes à la Mission Locale d’Argenteuil-Bezons) : Les Fantômes actuels (14h-16h, Misha, Salle de la table ronde)
16 Mai 2014, Agnès CLERC-RENAUD (Université de Strasbourg) : Voir des « âmes ». Une ethnographie des apparitions dans le Nordeste brésilien (14h-16h, Portique côté rue, Salle 409)
8 mars 2013 – Francesco D’Antonio (CHER), Catherine Schneider (CARRA) , Emmanuelle Sempère (Configurations littéraires) : Présentation du programme de recherche (problématiques, pistes de recherche et bibliographie).
5 avril 2013 - Renard Evrard (Université de Strasbourg) : Voir des personnes hantées : le regard d’un clinicien
Lire les documents et la bibliographie proposés par le conférencier.
26 avril 2013 - Catherine Schneider (Université de Strasbourg) : Plaidoyer pour (re)voir un fantôme (Le Tombeau ensorcelé du pseudo-Quintilien)
Lire les documents proposés par la conférencière.
Les Histoires de Tasì Hangbé présentent plusieurs récits sur cette figure...
Que dit la littérature contemporaine sur la mémoire de la traite...
L'Institut de littérature comparée et son groupe de recherches L'Europe...