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Pascal Dethurens présentera son dernier livre Astres. Ce que l'art doit au cosmos, paru chez Flammarion à la librairie Kléber en Salle blanche le mercredi 23 octobre 2024 à 18 h
À la suite de la publication du Dictionnaire Colette (2018), la Revue des lettres modernes (Classiques Garnier) a souhaité lancer une nouvelle Série Colette, à un rythme biennal. Le premier volume de la collection vient de paraître (août 2023) sous le titre Colette, réinventer le métier d'écrire.
On en trouvera le sommaire et le bulletin de commande en cliquant ici.
Le site internet de la Revue des lettres modernes Minard offre par ailleurs une présentation détaillée de l'entreprise ici:
https://www.lettresmodernesminard.org/colette.html
Enfin un récent éditorial de Fabula, en date du 23 août 2023, s'est fait l'écho de cette publication:
https://www.fabula.org/actualites/115527/colette.html
En 1928-1929, Jean Cocteau, que son addiction à l’opium conduit à un internement dans une clinique parisienne, répond à la demande d’un jeune prince roumain qui voudrait devenir écrivain. Il lui adresse une série de dix-neuf lettres, parfois ornées de dessins. Une amitié épistolaire de plus d’une année s’ensuit, interrompue dans la douleur.
D’abord diplomate et spécialiste d’Europe centrale, puis assistant parlementaire, Georges Greciano (1906-1976) dut attendre la mort de Cocteau pour, au cours de l’hiver 1964, s’ouvrir sur cet épisode qui avait marqué sa jeunesse: il en fit l’objet d’un récit enrichi des précieuses lettres échangées, qu’il intitula Cocteau, l’opium aux trousses. Il s’éteignit cependant en 1976 sans avoir confié son document à un éditeur. Il fallut presque un demi-siècle, et les efforts de son fils Rodolphe, pour que cette correspondance soit enfin publiée.
Augmenté de ces lettres inédites, le récit de Georges Greciano offre un document rare sur l’intimité du poète, et, plus largement, donne à voir tout un pan de l’histoire culturelle européenne au xxe siècle.
Le prince Georges Greciano (1906-1976), diplomate puis assistant parlementaire, fut spécialiste de l’Europe centrale. Il est notamment l’auteur, juste avant que n’éclate le conflit de la Seconde Guerre mondiale, d’ Europe, terre instable ? (1938).
Guy Ducrey est professeur de littérature comparée à l’université de Strasbourg. Il a dirigé avec Jacques Dupont le Dictionnaire Colette (2018) et consacré plusieurs articles à l’œuvre de Cocteau.
Pour consulter l'article consacré par Véronique Montémont au volume, cliquer sur le site d'AUTOBIOSPHERES ici.
Pour consulter l'interview conduite par Thomas Monnerais, cliquer sur le site de SAVOIR(S) ici
Quatrième :
La célébrité de Cyrano de Bergerac et de L’Aiglon a effacé des scènes les œuvres antérieures d’Edmond Rostand. Elles n’en témoignent pas moins de sa virtuosité scénique et de sa singularité poétique : Les Romanesques s’amusent à singer Roméo et Juliette, La Princesse lointaine met l’Orient aux pieds de Sarah Bernhardt. Par contraste, La Samaritaine frappe par un retour au classicisme. Cette première édition intégrale annotée du théâtre de Rostand, précédée d’une préface biographique et d’un essai sur son vers, situe les pièces dans leur époque et mesure leur proximité avec l’esprit symboliste.
Pour mieux lire la Quatrième de couverture, cliquez ici
Paris, Éditions des Archives contemporaines, 2021.
Marina Tsvetaeva entretient un rapport privilégié avec l’Europe où elle a vécu à différents moments de sa vie (notamment en Allemagne, République Tchèque, France). S’agit-il d’une Europe r´eelle, dont elle vit l’histoire et suit les déchirements en même temps que les autres « lecteurs de journaux » ? Celle des l´egendes et des mythes qu’elle connaît aussi bien que les traditions orales russes ? Celle des peintres et des musiciens, avec qui elle dialogue sans cesse ?
Le lecteur trouvera les réflexions des chercheurs de France, Allemagne, Italie, Angleterre et Russie issues du colloque pluridisciplinaire « Marina Tsvetaeva et l’Europe » qui s’est tenu en décembre 2018 a` l’université de Strasbourg.
Le recueil inclut deux poèmes inédits dédiés à Tsvetaeva, composés par Michèle Finck (Université de Strasbourg) et Jean-Yves Masson (Université Paris-Sorbonne) ; des traductions de poèmes tsvetaieviens par Florian Voutev et des dessins de Paul Kichilov réalisés sur le vif pendant le colloque.
Le numéro d'automne 2021 de la revue Romantisme s'intéresse à la chorégraphie aux XIXe et XXe siècles, considérée sous l'angle des institutions, des pratiques et des représentations. Un dossier de huit études rassemble historiens, spécialistes de littérature et historiens de l'art et cherche à montrer la fécondité d'un champ longtemps méprisé par la recherche.
Quatre lignes de force sont ici dessinées: formation des danseuses, légitimation du ballet comme art, figuration de l'univers chorégraphique, enfin intégration de la danse à un système complexe de transpositions d'art.
On trouvera le sommaire du dossier en cliquant ici.
Pour lire la présentation cliquer ici
Le Théâtre au miroir des langues
France, Italie, Espagne XVIe-XVIIe siècles
Directeur éditorial Véronique LOCHERT, Marc VUILLERMOZ, Enrica ZANIN, Genève, Droz, 2018.
Le Théâtre au miroir des langues consiste à explorer les grandes notions théâtrales au moyen d’une étude lexicologique portant sur trois aires géolinguistiques : la France, l’Espagne et l’Italie des XVIe et XVIIe siècles. Divisé en huit chapitres (Genres théâtraux, Paratextes, Dramaturgie, Personnages, Notions esthétiques, Métiers et techniques, Lieu théâtral, Réception), l’ouvrage propose une étude comparative des composantes essentielles du théâtre à partir de leurs modes de désignation dans les trois langues. Prenant appui sur un vaste corpus de pièces, de préfaces et de traités, ces analyses permettent tout autant d’identifier les correspondances et les pratiques communes d’un pays à l’autre que de mettre au jour les spécificités nationales. Cet ouvrage a été conçu dans le cadre du projet ANR « IdT - Les idées du théâtre ».
Vient de paraître:
Lampedusa, revue Europe n° 1077-1078, janvier-février 2019, sous la direction de Pascal Dethurens, Mathieu Jung et Maria Maruggi.
Pour consulter le sommaire et la présentation cliquez ici.
Quatrième de couverture
Colette ne fut pas la grande solitaire, la recluse du Palais-Royal que l’on représenta si souvent avant sa mort en 1954. Au contraire. Comme l’araignée campée « au centre de son gréement de soie » décrite dans La Maison de Claudine, elle se rattache par d’innombrables fils à ses contemporains, et à l’histoire de son temps : famille, amis, confrères des Académies, actrices et comédiens, cinéastes et musiciens, poètes, dramaturges et écrivains aimés, hommes politiques même, journalistes, correspondants anonymes ou célèbres. Et ce réseau se perd dans un passé qu’une mémoire vagabonde s’emploie, encore et encore, à faire ressurgir : une campagne bourguignonne du xixe siècle finissant, des Noëls d’enfance, le music-hall d’avant-guerre, la salle de rédaction d’un grand quotidien, des jardins disparus, des bêtes aimées, le goût de la châtaigne et le parfum de l’oranger marocain…
Pourquoi donc un Dictionnaire Colette ? L’œuvre même ne s’offre-t-elle pas comme vaste répertoire du monde, qui recouvre quatre-vingts ans d’expériences ? Mais après plus d’un demi-siècle d’études colettiennes, profondément renouvelées par la publication d’inédits, de nombreuses biographies et par les Gender Studies anglo-saxonnes, il était temps de donner la mesure de ce réseau, loin de la logique linéaire du récit de vie. De faire tenir ensemble, selon les principes contraignants de l’alphabet et les effets aléatoires du ricochet, l’écriture (avec son incomparable succulence), la vie, le contexte et la réception d’une œuvre qui, désormais classique, est aussi pleinement actuelle.
Car rien d’humain ni d’inhumain n’échappant à Colette, elle évoque le rôle des femmes dans la société moderne, la place que peuvent s’y ménager les homosexuels (solitaires ou en couple), le traitement des criminels, l’urbanisation de l’espace, la souffrance des bêtes et la nécessité, peut-être, de ne plus manger de leur chair. Un écrivain pour notre temps. Le moment est venu de s’en apercevoir.
Le Dictionnaire Colette à la radio et dans la presse:
– 17 janvier 2019: Émission de Béatrice Kneip sur RTL (Luxembourg), 17 janvier 2019, 11h20, émission en luxembourgeois sur le Dictionnaire Colette (interview en français), à réécouter ici:
–https://soundcloud.com/litterature-comparee/radio-luxembourg-colette-17-janvier-2019mp3
– 4 février 2019, Le Quotidien du médecin, «Lectures musicales», lire ici.
– 1er mars 2019, Le Monde des livres, Jean-Louis Jeannelle, lire ici
– 10 mars 2019, Dernières Nouvelles d'Alsace (sur le Dictionnaire et la soirée Colette), lire ici
– 15 mars 2019, Tageblatt (Luxembourg), Isabelle Junck, lire ici
– Avril 2019, Diogène 2017, n° 268-260, p. 280-284, François Kerlouégan, lire ici
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L'Institut de littérature comparée de l'Université de Strasbourg et son groupe de recherches L'Europe des lettres sont heureux d'annoncer la parution des actes du 39e Congrès de la SFLGC, Littérature et expériences croisées de la guerre. Apports comparatistes.
Le volume compte 58 articles répartis en sept chapitres: Les littératures anciennes et leurs échos ; Points de vue ; Regards croisés ; Guerre et crise du langage (poésie) ; Crise du langage (roman) ; La Guerre et la correspondance des arts ; Traumatismes d’après-guerre.
Le Congrès et le volume ont été coordonnés par les membres titulaires de L'Europe des lettres: Michèle Finck, Tatiana Victoroff, Enrica Zanin, Pascal Dethurens, Guy Ducrey, Yves-Michel Ergal et Patrick Werly, secondés par Suzel Meyer, doctorante.
Consultez ce volume en cliquant ici: http://sflgc.org/actes/actes-du-congres-de-strasbourg/
Faites connaître ce volume et le nouveau site de la SFLGC
Les Deux Corps de la danse. Imaginaires et représentations à l’âge romantique, Collection "Histoires" des éditions du CND, 992 p..
L'ouvrage est issu de la thèse de doctorat soutenue à Strasbourg sous la direction de Guy Ducrey
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Viennent de paraître les 6 tomes des Drames et pièces historiques de Victorien Sardou, sous la direction d'Isabelle Moindrot.
Tome V: Théodora, Cléopâtre, Gismonda, éd. Guy Ducrey et Sylvie Humbert-Mougin, 2017.
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Hors commerce. Pour commander le livre, contacter Patrick Werly: werly@unistra.fr
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Paradoxes du plurilinguisme littéraire 1900. Réflexions théoriques et études de cas. Britta Benert (dir.), Peter Lang, 2016
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suivi d'un essai de Tatiana Victoroff, «Rythme, sens, sonorité. Tsvetaeva en français».
Ce livre propose une nouvelle traduction des oeuvres poétiques de Marina Tsvetaeva (1892-1941), dont la plupart n'ont jamais paru en français. Nous avons cherché à réaliser une présentation aussi complète que possible de sa création lyrique de maturité, depuis le moment où elle a quitté son pays en 1922 pour passer en exil dix-sept années de création, et jusqu'à sa mort en 1941, au retour dans son pays. Nous avons écarté les grands poèmes narratifs épiques et folkloriques ainsi que la dramaturgie, afin de préserver ici une unité de genre. Et nous avons privilégié l'ordre chronologique, suivant en cela son propre désir. Elle écrivait en effet à un ami et futur biographe : « La chronologie est mon bâton de pèlerin. » Il s'agit donc d'une collection qui recherche l'exhaustivité. Les deux premières parties sont un choix d'auteur, tandis que les autres rassemblent la totalité des publications éparpillées dans les périodiques russes de l'époque, ainsi que les textes inédits, retrouvés depuis et publiés à titre posthume. Les « Poèmes à la Tchécoslovaquie » sont placés un peu en rupture avec la chronologie en fin de volume. Les parties sont d'inégale longueur pour des raisons biographiques. Nous avons cherché à rendre en français les aspirations à la transcendance de Tsvetaeva. Sa thématique est souvent ardue et les prouesses techniques difficiles à rendre en traduction. La lecture des poèmes demande donc un effort conscient de la part du lecteur. Mais nous espérons que cet ouvrage lui procurera le bonheur esthétique, souvent évoqué par Tsvetaeva dans ses écrits sur sa propre création. Et on voudrait dire, en paraphrasant l'une de ses déclarations que si l'on est fatigué de cette lecture, c'est qu'on a bien lu et qu'on a lu quelque chose de bien !
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Genève, Droz, 2014, 471 p.
La tragédie, c’est bien connu, finit mal. Au point que le terme « tragique » définit désormais tout événement funeste et sanglant. Mais la fin malheureuse n’a pas toujours été un élément essentiel du genre. C’est seulement lors de sa renaissance moderne que le dénouement malheureux a acquis une telle importance et ceci, en dépit de son manque de bienséance morale: si la tragédie finit mal, c’est que le héros, contre toute attente, n’est pas récompensé pour ses vertus et que les actions du méchant ne reçoivent pas la punition escomptée. Le dénouement malheureux est efficace, car il suscite la surprise et le pathos. Mais il contrevient aux conventions éthiques qui règlent la poétique renaissante: il n’est pas exemplaire. Par l’étude de la tragédie européenne de la première modernité, et plus spécifiquement de la théorie et de la pratique du genre en Italie, en France et en Espagne, cet ouvrage entend expliquer pourquoi le dénouement malheureux devient l’élément essentiel du genre au moment même où toute forme de poésie se doit d’être exemplaire. La tragédie moderne exprimerait alors la contradiction entre ce qui devrait être et ce qui est, en relevant l’écart qui sépare la foi en la providence divine et l’évidence de l’échec, de l’injustice et du malheur.
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Les communications présentées lors de la journée d'études organisée par Patrick Werly le 12 octobre 2010 viennent de donner lieu à un ouvrage, dont on trouvera la table des matières en cliquant ici.
Cliquez sur la couverture pour l'afficher en grand et lire la présentation du livre.
Les actes du Colloque doctoral des 14-15 octobre 2011, Subjectivité et relativisme de l'écrivain aux XXe et XXIe siècles organisé par Shuko Tanaka (Doctorante à l'Institut de littérature comparée), avec préface du Prof. Pascal Dethurens, sont désormais accessibles en ligne. Cliquez
pour les lire. Cliquez sur la couverture ou sur la 4e de couverture pour l'agrandir et lire la présentation. Pour lire la table des matières, cliquez ici.
Les articles du recueil n'engagent que leurs auteurs. Tous droits réservés. Pour citer un article du recueil, prière de préciser les références suivantes:
Subjectivité et relativisme de l'écrivain aux XXe et XXIe siècles, Actes du colloque doctoral des 14-15 octobre 2011, sous la direction de Shuko Tanaka, préface de Pascal Dethurens, 2012, 131 p., consultables sous le lien suivant: ea1337.unistra.fr/leurope-des-lettres/
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Paris, Hermann (collection «Savoir lettres»), septembre 2012, 249 p.
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Sous la direction d'Evelyne Enderlein et Tatiana Victoroff, Strasbourg, PUS, collection «Configurations littéraires», juin 2012
Le présent recueil réunit des textes originaux, composés à l’occasion de journées d’études qui eurent lieu à la BNUS à l’issue de la grande exposition « Pouchkine illustré ». Il lève un voile sur des aspects peu explorés du grand poète russe dont l’œuvre continue à être controversée.
Appelé « le Français » par ses amis, il créa la langue littéraire russe, l’inscrivant dans le processus de la révolution esthétique occidentale. Pouchkine est le poète du paradoxe, il restitua l’Europe à la Russie et fixa la Russie en Europe. Tout au long de sa courte vie, il se heurta à l’hostilité insidieuse de son propre milieu et des autorités, ce qui finira par causer sa perte, sa mort devenant ainsi le symbole même de sa différence. C’est précisément autour de cette « altérité » que s’articulent les articles de cet ouvrage qui offre des approches différentes et souvent inattendues, des regards croisés de critiques russes et occidentaux. L’ensemble est encore enrichi par des illustrations issues des Musées Pouchkine russes, documents inédits et inaccessibles en France, qui concrétisent le contexte social et politique dans lequel s’est exprimée cette personnalité hors du commun.
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sous la direction de Charlotte Krauss et Tatiana Victoroff, Amsterdam, New-York, NY, Editions Rodopi, 2012, 525 p.
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Presses universitaires de Strasbourg, octobre 2011. Actes du XVe colloque franco-polonais des universités de Poznan et Strasbourg, organisé à Strasbourg les 9-10 octobre 2008
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Bon de commande: on pourra se reporter au bon de commande et le télécharger en cliquant ici
Infolio, novembre 2010
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Paris, Presses universitaires de Paris-Sorbonne (PUPS), 2010
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Cerf-Cortet, 2010
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Citadelles & Mazenod, 2009
Que dit la littérature contemporaine sur la mémoire de la traite...
L'Institut de littérature comparée et son groupe de recherches L'Europe...
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