Côme de La Bouillerie soutiendra sa thèse de littérature française,...
Enseignements 2023-2024, reportez-vous au site de la faculté des lettres....
Le Patio, salle 4402, de 14h à 17h
Séance du 8 novembre, organisée par Bertrand Marquer
En marge du « canon » ? « Contre-littératures » et études littéraires
Dans un essai publié en 1975 (Les Contre-littératures), Bernard Mouralis se proposait d’analyser la manière dont le canon (littéraire) se définissait en disqualifiant une large partie de la production textuelle d’une époque. Inspirée de cette démarche, cette séance se focalisera sur la relation que la « littérature » entretient avec ce qui est spontanément maintenu à sa marge, afin de mettre en avant l’intérêt que peuvent avoir ces « contre-littératures » pour les études littéraires.
Deux chercheurs viendront dans ce cadre présenter leur approche et leurs travaux : Matthieu Letourneux (Paris-Nanterre), spécialiste de la culture médiatique et de la littérature sérielle (19e-21e siècles) et Lucien Derainne (Université Jean Monnet), spécialiste des rapports entre science et littérature aux 18e et 19e siècles.
Séance du 22 novembre, organisée par Emmanuelle Sempère
Correspondances du 18e siècle : du manuscrit à l'édition, une réflexion sur l'objet, les pratiques, les réseaux épistolaires à l'époque des Lumières
À partir d'une découverte de différents types de corpus épistolaires, et d'une initiation au manuscrit, à l'archive et à la codicologie, il s'agira de réfléchir, à partir d'une approche théorique, aux différents usages des correspondances au 18e siècle, à leur intérêt pour la connaissance littéraire et historique, à leur inscription dans des réseaux et surtout à leur statut dans le champ éditorial : comment éditer une correspondance, de la transcription du manuscrit à l'inventaire et à l'édition ? Cet atelier permettra d'appréhender le travail de réflexion du chercheur et de l'éditeur, et de s'initier aux méthodes éditoriales, notamment dans le champ des humanités numériques.
Animée par Linda Gil (université Paul-Valéry Montpellier 3) et Emmanuelle Sempère
Présentations PDF à retrouver ici: L. Gil et E. Sempère
Séance du 6 décembre, organisée par Tatiana Victoroff
Polysémie du mot « mythe » : mythes religieux, mythes littéraires, mythes politiques
Polysémique, comme la majorité des mots d’une langue, « mythe » peut être glosé par « erreur largement répandue ». La tradition comparatiste a longtemps travaillé à partir d’un autre sens qui est en relation avec « mythologie ». Pour étudier la survie des mythes gréco-latins dans les littératures modernes, on a mis au point une procédure de travail, dont il est apparu qu’elle fonctionnait aussi bien avec des figures modernes : le « mythe » de Faust peut s’analyser comme celui d’Electre. On pourra examiner l'élasticité du terme "mythe", quand il est appliqué à des figures littéraires (don Quichotte, don Juan) considérées comme mythes rétrospectivement, ou quand il est utilisé pour désigner des figures ou des moments historiques transfigurés pour des besoins politiques (sainte Thérèse, Isabelle la Catholique, le Siècle d'Or).
Dialogue entre Jean-Louis Backès, professeur émérite de la Sorbonne, auteur des ouvrages Le Mythe dans les littératures d'Europe (Cerf, 2010), Le Mythe d’Hélène (Adosa, 1984), Oreste (coll. « Archétype », Bayard, 2005), et Anne Teulade (Université Paris Créteil), spécialiste du théâtre européen des XVIe-XVIIe siècles et des rapports entre théorie et pratique littéraires, autrice de l’ouvrage Le saint mis en scène : un personnage paradoxal (Cerf, 2012).
Séance du 20 décembre, organisée par Corinne Grenouillet
Collectif et démocratie : la pensée du roman contemporain (2024)
Autrices de deux livres parus en 2024 dans la collection « Savoir Lettres » de Hermann, deux chercheuses viennent croiser leurs travaux sur la littérature contemporaine.
Anne Cousseau, professeure à l’université de Lorraine, et autrice de Fictions du collectif dans le récit français contemporain, s’intéresse aux nombreux auteurs français (Maylis de Kerangal, Laurent Mauvignier, Yannick Haenel, Annie Ernaux, François Taillandier, Virginie Despentes, Aurélien Bellanger, Éric Reinhardt, Pierre Ducrozet ou Charles Robinson) qui font preuve de sensibilité à l’égard d’une véritable mutation civilisationnelle, celle qui se manifeste dans les rassemblements populaires, la mondialisation, les réseaux numériques, les communautés ou les pratiques collaboratives, participatives ou solidaires.
De son côté Sylvie Servoise, professeur à Le Mans-Université, arpente, dans Démocratie et roman : explorations littéraires de la crise de la représentation au XXIe siècle, un territoire comparatiste, de François Bon et Leslie Kaplan pour la France, à Giorgio Vasta et Walter Siti pour l’Italie, en passant par Zadie Smith, Jonathan Dee, Don DeLillo pour le monde anglo-saxon. Elle s’intéresse à la manière dont leurs romans représentent le peuple démocratique en « répar[ant] un défaut de visibilité » et dont ils témoignent d’une défiance à l’égard des représentations nationales.
Que pense le roman des formes du collectif en émergence et quelles expériences propose-t-il à ses lecteurs et à ses lectrices pour surmonter la crise démocratique que nous vivons ? telles sont les questions que la séance entend développer à partir de la présentation, par A. Cousseau et S. Servoise, de leurs travaux respectifs.
* * *
Pour valider ce séminaire, les étudiants seront invités à rédiger un compte rendu critique d’une des séances selon le choix des responsables du séminaire. Il s’agira d’un texte de 12 000 à 15 000 signes (4 pages environ), dans un style impersonnel ou personnel.
Quelques indications :
- faire preuve d’une bonne écoute et rendre compte du contenu de manière synthétique;
- apporter un regard critique : manifester une forme de distanciation, une capacité de réflexion sur le sujet traité ;
- révéler des éléments importants apportés par les intervenants lors des échanges entre eux et avec le public. (En quoi la discussion contribue-t-elle à éclaircir ou enrichir le propos des intervenants ?)
- indiquer une application possible du contenu des conférences pour une recherche personnelle (écriture du Mémoire, préparation d’un exposé, écriture d’un article..) dans le cadre de la formation en Master LFGC.
Voir des exemples de comptes rendus sur les sites :
https://lethica.unistra.fr/lethictionnaire/recensions
traduction et interprétation : https://www.societetraduction.fr/conseils-redaction-compte-rendu-de-conference/
Date limite de remise du devoir : 10 janvier 2024
Journée d’études étudiants en Master et doctorants
13 décembre 2024
Amphithéâtre du CDE
Par la voix de nourrices ou d’aïeux, par le biais de premières lectures, ou encore sur grand écran, les contes ont fasciné des générations d’enfants. Si les récits de Grimm, Perrault ou Andersen sont ancrés dans l’esprit des plus jeunes, les contes philosophiques de Voltaire ont séduit adultes et adolescents. Plongeant eux aussi dans une partie intime de notre psyché et suscitant un intérêt intergénérationnel, les mythes font également partie de notre patrimoine littéraire, artistique et culturel. Appartenant également au folklore narratif, la légende a elle aussi fécondé l’esprit créatif des sculpteurs, peintres, musiciens et auteurs. À la fois présente dans l’imaginaire collectif et les arts, se rapprochant du mythe du fait de son caractère étiologique, la légende vient ainsi compléter ces trois formes de prose narrative appartenant au folklore, ancrées dans un monde merveilleux, objet de croyances et mettant en scène des personnages souvent surnaturels.
S’il est aisé de les présenter par le biais de ces données, on serait toutefois bien en peine de les définir, les critères internes comme externes de classification ne faisant pas consensus au sein même des spécialistes du domaine. Toutefois, un élément de distinction indépendant de tout classement se dessine : l’évolution de ces trois formes dans le temps et leur inscription dans l’histoire. Si le conte reste prospère, il n’a pas connu, dans la littérature ou la peinture, la postérité des mythes et légendes. Sa forme philosophique n’a quant à elle, pas survécu à Voltaire. En revanche, il eut la particularité d’intéresser le domaine de la psychanalyse. Ses relations avec l’inconscient ont nourri l’analyse freudienne et jungienne, tandis que la nature symbolique des contes de fées et leur interprétation ont fait l’objet d’une analyse approfondie dans La psychanalyse des contes de fées (1976) de Bettelheim. Indépendamment de leur valeur symbolique, ils ont par ailleurs intéressé le structuralisme et en particulier le folkloriste russe Propp qui, avec Morphologie du conte (1928), a proposé une étude visant à analyser la matrice dont tous les contes seraient issus. Le mythe a lui aussi nourri la recherche : son attrait scientifique a ainsi donné naissance, au XIXe siècle, à l’usage du terme « mythologie » au sens « d’étude scientifique des mythes ». La légende n’a en revanche pas fait l’objet d’une dérivation sémantique inscrivant son intérêt scientifique par le biais d’une terminologie propre. Le mythe a par ailleurs suscité un double intérêt au XXe siècle : en littérature, avec une recrudescence de ses réécritures, ainsi que, dans un tout autre domaine, en sémiologie. Considéré sous une forme élargie, non plus soutenu par un récit, le mythe est alors employé pour désigner un ensemble d’idées et de représentations qui donne au groupe sa cohésion culturelle et sa cohérence morale. C’est en ce sens que Roland Barthes réunit ses articles dans son ouvrage Mythologie (1957). Si la légende ne connaît pas la postérité littéraire qu’a eue le mythe au XXe siècle, elle connaît elle aussi une évolution sémantique. Sa terminologie s’inscrit en effet dans la modernité avec l’usage depuis les années 1990 du terme « légende urbaine » dont la définition demeure floue et arbitraire. En plus de lui extraire son caractère merveilleux, ce terme la dénature de son aspect folklorique, sauf à considérer que le folklore est paysan.
Au-delà de leur définition, usage ou évolution, les réécritures dont font l’objet les mythes, contes et légendes, tout comme les domaines qu’ils intéressent semblent ainsi avoir beaucoup à dire. À quel besoin répondent-ils ? Quel sens leur donner ? Que nous disent-ils de la société au sein de laquelle ils s’inscrivent ?
Cette journée d’études fera la part belle aux jeunes chercheurs et convoquera la littérature, les arts, la sémiologie, la philosophie ou encore l’histoire, chacun de ces domaines permettant d’analyser à travers le prisme propre à chaque discipline ces formes narratives, leurs spécificités, leurs réécritures, ou leur ancrage en peinture, sculpture ou musique.
Les propositions d’intervention ainsi que la fiche de renseignements sont à envoyer sous le titre « Proposition Mythe_ Prénom NOM_ M/D » (M pour Master, OU D pour Doctorants) à l’adresse suivante aloraschi@unistra.fr avant le 15 octobre 2024.
Le retour du comité scientifique vous sera communiqué aux alentours du 1er novembre. Nous proposons également des interventions en tant que modérateur. Dans ce cas, n’hésitez pas à proposer votre candidature par la même voie que celle de l’appel à contribution, en spécifiant dans le titre, non pas « proposition » mais « modération ».
Nous organisons le 22 mars prochain, de 9.30 h à 16.00h, une journée de présentation des Mémoires pour les étudiants de Master II, dans la salle 409 du Portique.
Il s’agira d’une très brève présentation de leurs Mémoires par des étudiants qui sera suivie par une courte discussion avec les enseignants et les autres étudiants.
Vous trouverez ici le programme de cette journée.
Tatiana Victoroff, Responsable pédagogique du Master LFGC
Pour la quatrième année consécutive, Tatiana Victoroff et Ariane Loraschi ont le plaisir d'organiser une journée d'études réunissant étudiants en Master et doctorants. Celle-ci aura lieu le 15 décembre 2023. Son objectif est de donner à chacun la possibilité d'adopter une posture de jeune chercheur et de permettre une prise de parole dans le cadre d'une communication scientifique, autour d'un sujet transversal et transdisciplinaire. Cette année, c'est le thème du "double" qui a été choisi. Nous avons le plaisir de vous présenter l'argumentaire, que vous trouverez ici, et de vous transmettre une fiche de présentation (téléchargeable ici) à nous retourner avec votre proposition le cas échéant. Nous vous attendons nombreuses et nombreux et vous adressons tous nos encouragements.
Compte-rendu vidéo de la journée réalisé par Tiphaine Corouge et Samir Moinet
Invitation aux voyages
Troisième édition de la journée d’études réunissant étudiants en master et doctorants
21 octobre 2022
Mais les vrais voyageurs sont ceux-là seuls qui partent
Pour partir, coeurs légers, semblables aux ballons,
De leur fatalité jamais ils ne s'écartent,
Et, sans savoir pourquoi, disent toujours : Allons !
Charles Baudelaire, Le voyage, 1959
D’Homère à Louis Ferdinand Céline, de Jules Verne à Charles Baudelaire, de Diderot à
Blaise Cendrars, la littérature a de tout temps interrogé le thème du voyage. Par les rencontres
culturelles qu’il permet, il nourrit également les échanges artistiques et invite au dialogue.
Toutefois, si l’ailleurs alimente les arts à travers les siècles, le voyage est aussi devenu un
idéal contemporain suscitant un engouement d’un type nouveau et repositionnant les
questionnements éthiques, politiques et philosophiques qu’il ouvre. En lien avec l’évolution
des modes de transport et des activités sociales, le vocabulaire courant tend en effet à le
qualifier : on ne se contente plus d’évoquer un départ en voyage, mais on stipule volontiers un
« voyage organisé » ou un « voyage d’affaires » ; le périple est parfois planifié par une agence
qui en fait un produit de consommation d’autant plus rentable que l’ailleurs est toujours
recherché.
Alors que l’utile et le pratique semblent prévaloir – les progrès techniques ayant en
outre sécurisé et facilité les déplacements –, quelle place dorénavant pour l’aventure, la quête,
l’exil, l’épreuve et la découverte ? Évoluant dans un espace infini et à travers les époques,
l’esprit qui anime les arts et la littérature est heureusement là pour nous rappeler la délicatesse
de l’ailleurs onirique, les vertus de la perte et de l’échec, la richesse de l’errance de la pensée,
la nécessité du vagabondage des sens et l’espoir de l’ailleurs offert par l’être aimé.
Parce que le caractère initiatique du voyage peut s’abstraire de la distance, de l’espace
et du temps, qu’il s’enrichit de la pensée, du dialogue entre les genres et se transporte par
l’imagination, nous vous convions à une recherche par le voyage qui sera, avant toute chose,
un voyage par la recherche… Alors « Allons » !
Il est prévu 20 minutes de communication par participant, suivies de 10 minutes de discussion.
Les propositions d’intervention seront à envoyer par courriel à l’adresse suivante :
karmeliane@yahoo.fr avant le 31 mai 2022, en mettant en objet du message : « Journée d’études
Invitation aux voyages – Contribution ». Le texte à joindre devra comporter vos nom, prénom, année
d’étude, directeur de mémoire ou de thèse, EA de rattachement, être accompagné d’un résumé de 15
lignes maximum et être complété par la fiche de présentation ci-jointe.
Nous proposons également des interventions en tant que modérateur. Dans ce cas, n’hésitez
pas à soumettre votre candidature par la même voie que celle de l’appel à contribution.
Forts du succès de leur première journée d’étude Opus-Corpus : la représentation du corps à la croisée de la Littérature et des Arts, l’UR 1337 et ses trois groupes de recherche (CELAR, CERIEL et L'Europe des lettres) ont organisé le 12 octobre 2021 une seconde édition de cet événement au Collège doctoral européen. Le thème Raviver la rencontre a permis la réunion — principalement mais pas uniquement — de jeunes chercheurs et chercheuses en littérature française, générale et comparée préparant actuellement un master, l’agrégation ou une thèse à l’Université de Strasbourg.
Après deux ans rythmés par une crise sanitaire que nous avons chacun.e vécue à notre manière, l’objectif de cette journée était de s’unir pour penser la « rencontre » dans son acception la plus large : celle de l’Homme et de l’art, d’auteurs et d’œuvres, d’époques et de domaines de recherche différents. Les contributions à cette riche journée sont désormais accessibles en ligne, agrémentées par des croquis réalisés par Véra Vernière.
INTRODUCTION
par Ariane Loraschi, doctorante
Pour accéder à l'introduction cliquez ici
SESSION 1 : UNE POÉSIE INTERCULTURELLE DE LA RENCONTRE
La rencontre poétique et biographique s’imposant à l’écriture aragonienne
par Charlotte Maillot, étudiante en master
Pour accéder à la communication cliquer ici
Le triangle transatlantique : les poètes français et russes à la rencontre de la poésie américaine (1970–2000)
par Milena Arsich, doctorante
Pour accéder à la communication cliquer ici
Littérature, histoire et culture à Antioquia (Colombie) vers la fin du XIXe siècle : une rencontre entre l’Europe et la Colombie
par Luis Eduardo Martinez-Alvarez, doctorant
Pour accéder à la communication cliquer ici
SESSION 2 : À LA RENCONTRE DU FÉMININ
La rencontre comme motif de la mélancolie chez l’héroïne romanesque de l’Après-Guerre
par Clara Madru, étudiante en master
Pour accéder à la communication cliquer ici
Présence de la voix absente dans deux nouvelles épistolaires monodiques de Rabindranath Tagore (1861–1941) et Stefan Zweig (1881–1942)
par Bandhuli Chattopadhyay, doctorante
Pour accéder à la communication cliquer ici
Le XIXe siècle dialogue avec les gender studies : « mon » genre est né d’une rencontre avec l’Autre
par Salomé Pastor, agrégative
Pour accéder à la communication cliquer ici
SESSION 3 : TOUCHER L’AUTRE, LA RENCONTRE ENTRE LES ÂGES
L’absence incarnée ou le théâtre en scène
par Lucie GUILLAUME, étudiante en master
Pour accéder à la communication cliquer ici
Quand l’artiste rencontre une époque : Ibsen et le Moyen Âge
par Solenne GUYOT
Pour accéder à la communication cliquer ici
Rencontre à travers la sagesse : étude de cas de Sénèque le stoïcien
par Geoffrey Nicolaieff
Pour accéder à la communication cliquer ici
SESSION 4 : LA RENCONTRE DANS LE MONDE CONTEMPORAIN
La rencontre et la photographie chez Willem Frederik Hermans et Michel Tournier
par Sasha RICHMAN, doctorante
Pour accéder à la communication cliquer ici
En tête à tête avec le terroriste
par Capucine BLANC, étudiante en master
Pour accéder à la communication cliquer ici
De la considération comme mode de rencontre avec son sujet. L. H. Sullivan et le design de la tour de bureaux
par Claire DAVRIL, doctorante
La communication n'est pas accessible
Comité d’organisation : Capucine Blanc, Lucie Guillaume, Ariane Loraschi, Charlotte Maillot, sous la direction de Tatiana Victoroff.
Avec la collaboration de Véra Vernière (illustrations) et Vera Kazartseva (vidéo).
Comité de relecture : Milena Arsich, Lucie Guillaume et Solenne Guyot
Nous organisons le 18 mars prochain, de 9h à 18h, une journée de présentation des Mémoires pour les étudiants de Master II, dans la salle 409 du Portique.
Il s’agira d’une très brève présentation de leurs Mémoires par des étudiants qui sera suivie par une courte discussion avec les enseignants et les autres étudiants.
Vous trouverez le programme à télécharger de cette journée en cliquant ici
Votre présence, votre intérêt pour leurs travaux (et vos questions éventuelles) peuvent beaucoup soutenir nos étudiants et leur permettront de mieux se préparer pour la soutenance à la fin de l’année.
Jeudi 3 mars 2022, 18h, salle 409: dialogue avec André Markowicz, traducteur, conférence organisée à l'initiative de Mme Tatiana Victoroff "
Dostoïevski au XXI siècle : éthique et polyphonie"
La rencontre avec André Markowicz, éminent traducteur de Dostoïevski, ouverte à tous le public intéressé, s'est déroulée autour des résonances entre les écrits de Dostoïevski et notre position de lecteur contemporain. Elle s’accompagnera de la lecture théâtrale d'extraits de Dostoïevski dans la traduction d’André Markowicz, préparée par les étudiants du Master LFGC, et s’achèvera par le verre de l'amitié.
On peut trouver une captation vidéo de la rencontre, réalisée par Jean-Bernard Montel, en cliquant sur ce lien: captation vidéo Markowicz
L'UR 1337 Configurations littéraires et ses trois groupes de recherche (CELAR, CERIEL et L'Europe des lettres) sont heureux d'annoncer la tenue de la deuxième journée d'études réunissant les étudiants en master et en doctorat de l'UR. Consacrée au thème de LA RENCONTRE, la journée réunira des chercheurs et chercheuses en littérature française, générale et comparée, qui préparent actuellement une thèse ou un master.
En cliquant ici vous trouverez le programme et pourrez le télécharger.
Renseignements: karmeliane@yahoo.fr
Vous trouverez ici un résumé vidéo, réalisé par Vera Kazartseva
https://www.dropbox.com/s/wp8dv37eaztsk8f/Raviver%20la%20rencontre.mp4?dl=0
Les Histoires de Tasì Hangbé présentent plusieurs récits sur cette figure...
Que dit la littérature contemporaine sur la mémoire de la traite...
L'Institut de littérature comparée et son groupe de recherches L'Europe...